RESTAURANT LE TI RESTO A LANDIVISIAU
Un retour aux sources
Après plus de vingt ans à concocter de bons petits plats aux vacanciers des bords de mer et de la montagne, Gildas Moguerou est de retour sur sa terre natale pour s’épanouir à son propre compte.
Apprenti cuisinier dès l’âge de 16 ans, Gildas Moguerou a toujours été passionné de cuisine. Et sans doute aussi de voyage puisqu’il passe une majeure partie de sa carrière en tant que travailleur saisonnier en France et à l’étranger. Mais à l’âge de 40 ans, l’envie de poser ses valises le titille. « Et j’en avais assez de travailler pour les autres, souligne t’il. Et puis… L’occasion s’est présentée. Je venais de démissionner alors je me suis lancé, sans trop réfléchir ».
Gildas commence alors à faire des recherches sur internet et s’inscrit sur le site BLOT Commerce afin d’obtenir un rendez-vous avec un conseiller. Une fois pris, Gildas expose son projet : tenir un restaurant à Landivisiau, là où vit sa famille. Après seulement 3 visites, il trouve une affaire qui lui convient parfaitement : un restaurant bien placé qui lui permet de toucher une clientèle d’habitués travaillant dans les Zones artisanales et industrielles alentours, équipé d’un matériel quasiment neuf. « A part les plats qui sont aujourd’hui plus traditionnels, je n’ai quasiment rien changé, tout était déjà en place. J’ai juste un peu réaménagé la cuisine pour me faciliter le travail, car, comme tout le monde, j’ai mes habitudes ».
Les propriétaires cherchant à vendre, l’acquisition se fait facilement. « C’est plutôt moi qui ait fait traîner les choses, ajoute Gildas, car j’attendais des accords pour obtenir des aides financières. J’ai d’ailleurs obtenu un taux bancaire très intéressant grâce à Blot Commerce. Ils m’ont accompagné de A à Z, du financement à la signature chez le notaire en passant par un soutien juridique. Et j’en suis très satisfait car tout s’est très bien passé ».
Aujourd’hui, Gildas travaille à augmenter son chiffre d’affaires et si les conditions le permettent, souhaite développer un service traiteur, « mais sans griller les étapes », ajoute t’il. Affaire à suivre…