BAR CREPERIE GRILL LE MAREGRAPHE A DINARD
Du métier de bouche à Paris à celui de restaurateur en bord de mer
Après avoir passé presque 25 ans à travailler ensemble à Paris puis à Chartres, Patrick et Nathalie décident un jour de quitter leur métier de charcutier-traiteur pour tenter une nouvelle aventure en bord de mer. Pari réussi !
« 25 ans comme charcutier traiteur, c’est dur vous savez, alors… comme Nathalie voulait aller vivre en bord de mer, on s’est dit que c’était le moment de changer d’air mais aussi de métier. Sans toutefois quitter le domaine alimentaire, explique Patrick ». « Nous nous sommes alors adressés à Blot Commerce, car c’est une maison connue, précise Nathalie. Dès le départ, nous avons particulièrement apprécié qu’ils fassent l’effort de venir chez nous en Beauce pour mieux nous connaître et cerner nos projets ». Suite à cette première rencontre, Blot Commerce leur fait visiter plusieurs affaires situées sur les côtes normandes (Caen) et bretonnes (Saint Malo, Vannes). C’est ainsi qu’ils tombent sous le charme du Marégraphe à Dinard. « C’était une belle affaire! relève Nathalie. Sans travaux à réaliser, et avec un chiffre d’affaires qui nous convenait ». « De plus, reprend Patrick, elle était équipée d’un matériel récent et possédait un logement à l’étage. C’est ce qui a fait la différence». Convaincu, le couple suit alors, avec les conseils de Blot Commerce, une formation chez un maître crêpier à Maure de Bretagne. « Blot Commerce nous a accompagnés à tous les niveaux. Ils nous ont notamment permis d’obtenir un taux intéressant auprès des banques ». Pour se donner du temps à bien connaître les ficelles de ce nouveau métier, le couple commence alors son activité en février, la période la plus calme de l’année, « pour être fin prêt à Pâques », souligne Patrick. Pari réussi pour le couple Lesieur, puisque leurs bons résultats, malgré une saison estivale mitigée, ont permis d’intégrer leur fille Julie à l’entreprise. On est très heureux aujourd’hui, même si ce n’est pas un métier tendre non plus, travailler ici à 50 mètres de la mer c’est un peu les vacances ! »